Choisir la région bruxelloise comme lieu de lancement de votre startup a ses avantages et ses inconvénients, mais les pros battent définitivement les inconvénients. Une nouvelle étude menée par Startups.être et par Bruxelles région révèle que 75% des fondateurs locaux recommanderaient à leurs amis de créer leur startup à Bruxelles.
#1 Bruxelles est la région belge avec la plus forte densité de startups
Avec 400 startups et plus de 1.150.000 habitants, la région bruxelloise dispose de la plus haute technologie startup densité par habitant. Une comparaison intéressante avec Lisbonne : alors que la capitale portugaise compte pour 2,2 startups pour 10.000 habitants, Bruxelles obtient 3,4 startups pour 10.000 habitants respectivement.
Il existe également une forte corrélation entre la startup densité et le nouveau jobs dans la région. Selon notre étude, basée à Bruxelles startups emploient plus de 3.000 personnes. De plus, 100% des personnes interrogées startups plan sur l'embauche de plus de personnes dans la prochaine année.
#2 Le gouvernement contribue aux nouvelles embauches
Environ 62% des startups allouer une partie de leurs subventions gouvernementales à l'emploi. Alors que près de 25 % des startups allouent même plus de la moitié de leurs subventions à l'embauche d'employés.
Trouver les bons candidats et investir dans les talents, surtout quand startups ne génèrent pas de revenus élevés, sont quelques-uns des principaux défis startupvisage de s.
« Ce n'est pas facile de recruter un profil commercial. Cela commence par être conscient de ce dont vous avez vraiment besoin. Les entrepreneurs ont tendance à rechercher des profils « de trop haut niveau » pour la tâche. Ils s'ennuient rapidement au travail et quittent l'entreprise. Vincent, PDG de M-Village.
#3 Des entrepreneurs du monde entier choisissent Bruxelles
Une étude récente révèle que 19% des Bruxellois startup fondateurs ont été élevés dans un pays étranger. La majorité (51%) a été élevée à Bruxelles, 30% a été élevée en Flandre ou en Wallonie. Les profils des entrepreneurs derrière la Brussels tech startups sont très diversifiés, avec respectivement 12.5% et 19% de la tech bruxelloise startups dirigé par une femme et des étrangers.
« Bien que Woman in Tech organise des conférences sur une femme qui réussit, je pense qu'il manque une femme inspirante dans des secteurs typiquement masculins. La plupart des femmes que j'ai rencontrées lors de ces conférences étaient actives dans des secteurs tels que l'habillement, le maquillage ou l'alimentation. Aurélie Mercks, CTO chez ITeahcYou.
Enfin, 82 entrepreneurs ont tellement aimé l'expérience qu'ils ont créé plusieurs entreprises.rises!
#4 Top 5 des secteurs dans lesquels les entrepreneurs construisent leur startups
Les médias et le divertissement, la santé, le marketing et les ventes, la finance et les industries créatives sont les 5 principaux secteurs dans lesquels les entrepreneurs construisent leur startups, même si certains secteurs moins « encombrés » réussissent mieux à lever des fonds. Ensemble ils représentent +45% de toute la tech bruxelloise startups. La part bruxelloise du B2B startups est supérieur à la moyenne nationale (41% vs 33%), mais B2B startups restent prédominants.
#5 L'esprit entrepreneurial bruxellois est en plein essor
Avec 60% des startups créé après 2011 et s'est internationalisé à 72%, l'esprit entrepreneurial bruxellois est en plein essor ! L'Europe reste un choix privilégié pour l'expansion. Les données obtenues révèlent que 39% de la tech bruxelloise startups sont déjà actifs dans certains pays de l'UE, 89 % souhaiteraient s'y développer. La moitié de la tech bruxelloise startups ont choisi de développer leur activité en France. Les Pays-Bas arrivent en deuxième position avec 25 %. Après les pays de l'UE, la deuxième destination d'expansion la plus recherchée est l'Amérique du Nord avec 31 %, suivie de l'Asie avec 17 %.
"La concurrence est plus rude au Royaume-Uni ou France Par exemple. Pour stimuler le Belge startups croissance à l'étranger, nous devons cultiver la culture du revenu pour les inciter à mieux lutter contre la concurrence étrangère. Olivier Belenger, PDG de Seeder Fund.
"Pour se développer à l'international, vous devez avoir des représentants commerciaux dans de nombreux pays, ce qui s'accompagne de défis de gestion et de communication tels que le "décalage horaire", le multi-langues, l'absence de réunion en face à face, les complications juridiques, etc." Maxime Champoux, Chef de Produit chez IbanFrist.
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